Carnets de voyage
Sept merveilles de Kyoto
Tokyo !
Mardi 18 août, dans notre appartement à Hamamatsucho, Tokyo
Voilà maintenant 3 semaines que nous avons changé de continent. Oui, cela nous a pris un peu de temps pour vous donner des nouvelles. Le temps de l’adaptation ? Parce que (a-t-on besoin de le préciser) le décalage entre l’Amérique du Sud et l’Asie n’est pas qu’horaire !
Nous nous sommes vite rendues compte que nous commencions un nouveau voyage. Anticipation et mimes sont à présent les maîtres mots. Mais trêve de considérations générales, entrons dans le vif du sujet : Tokyo.
Tokyo… tant de choses ont été écrites sur cette ville qu’il est difficile pour nous de passer derrière. La cohabitation du traditionnel et du moderne, de l’occidental et de l’asiatique, etc. Oui oui tout ceci se vérifie en permanence, mais vous nous excuserez d’être plus terre-à-terre et de ne vous livrer ici qu’une simple liste de nos coups de cœur tokyoïtes.
Tokyo et ses buildings : la première chose que Tokyo offre à ses visiteurs. De l’immeuble en carrés d’Hermès à la Tour Mori protégée par sa « Maman » à Roppongi Hills, tous ces gratte-ciels nous ont fait oublier que la Tokyo Tower dépasse la Tour Eiffel !
Tokyo et ses jardins : les jardins du Palais Impérial et le parc de Ueno nous ont offert des pauses vertes (et des coins d’ombre sous 35° ! ) des plus agréables.
Tokyo et ses temples : Sensoji Temple, malheureusement en travaux, dans le quartier mouvant d’Asakusa avec tongs en bois et gadgets en tout genres, fait le bonheur des touristes, mais nous lui avons préféré Zojoji Temple, et ses danses traditionnelles à la lumière des lanternes.
Tokyo et ses bars : le fameux New-York bar de « Lost in translation » au 52e étage du Hyatt Hotel, avec une vue imprenable. Et le non moins fameux La Jetée, repère de cinéastes et artistes en tout genre, 6m2 perdus dans une ruelle de Shinjuku.
Les tokyoïtes : endormis dans le métro ou sur un banc, déchaînés dans leur costume tout droit sorti des mangas dans Shibuya et Harajuku, ou trottinant dans leurs tongs en bois et kimonos de soie vers les temples en fête pendant l’été. Grâce à eux, nous ne sommes jamais restées perdues très longtemps. Et un merci spécial à Koko et ses feux d’artifices !